Mon rôle

  • je suis titulaire du Diplôme Universitaire de médiateur (il n’existe pas à ce jour de diplôme d’État de médiateur généraliste), obtenu à l’issue d’une formation de 200 heures ;
  • j’exerce mon activité au sein d’une société, en toute indépendance et à titre d’activité principale ;
  • je suis, en toutes circonstances, neutre et impartiale ;
  • je respecte les principes édictés par la charte éthique des médiateurs dans les litiges administratifs, notamment la confidentialité.
  • un juge ou un arbitre : il n’impose pas une solution ;
  • affilié à une institution, à la différence d’un médiateur institutionnel ;
  • un psychologue : la médiation n’est pas une psychothérapie et ne doit surtout pas interférer avec un éventuel accompagnement psychologique ;
  • un avocat ou un conseiller juridique : son rôle est celui d’un facilitateur du dialogue.
  • médiations administratives : celles qui sont proposées aux parties par les juridictions administratives (tribunaux administratifs, cours administratives d’appel) dans certains litiges et pour lesquelles je suis désignée lorsque les parties ont donné leur accord pour s’engager dans ce processus ;
  • médiations conventionnelles : celles qui sont à l’initiative de personnes en conflit, mais en-dehors de tout contentieux devant un tribunal, et qu’on me demande de conduire.
  • Mes tarifs sont modulés en fonction de la complexité de la médiation, du nombre de parties, du temps que je prévois d’y passer… Ils sont forfaitaires, incluant entretiens individuels et une à deux séances plénières. Si d’autres séances sont nécessaires, elles font l’objet d’une rémunération horaire.
  • Les frais de la médiation sont répartis équitablement entre les médiés et, pour les particuliers, peuvent parfois être pris en charge par la protection juridique du contrat d’assurance.
  • Mes tarifs sont clairement indiqués au début des échanges avec chaque client.